Arkenna, 16 septembre 2016
Dany Marique
Dany Marique
ÉCOSSE,
terre d’îles
À quoi tiennent les rêves d’enfance ? À une
lecture tardive sous les draps... ou peut-être à un feuilleton télévisé, à un
jeu de rôle chez les scouts. Peu importe, en fait : les rêves nourrissent notre
vie, ils nous confectionnent une réalité augmentée. Et l’Écosse sauvage et
rebelle de Rob Roy était depuis longtemps dans mes rêves.
Ces mots de Dany Marique font comprendre, bien mieux qu’une présentation
conventionnelle, pourquoi il a choisi de nous emmener ce soir à la découverte
de l’Écosse. Sur ce biochimiste tourné grand voyageur il y a quarante ans, sur
cet homme épris de nature et de liberté, l’Écosse sauvage et fière, rocailleuse
et liquide, au goût de tourbe et de haddock, ne pouvait qu’exercer un attrait
irrésistible.
Pour la beauté sans compromis de ses paysages de lochs et
de glens, qui resplendissent un instant entre deux nappes de pluie ou de
brume... Pour ses châteaux hantés et ses contes à dormir debout au bord du Loch
Ness... Pour une histoire taillée à grands coups de serpe entre Pictes, Scots
et Vikings, moines bâtisseurs et clans querelleurs... Et pour des traditions
viriles et originales, qui collent à son image comme la rayure de couleur au
tartan de laine : bière et whisky, kilt et cornemuse, haggis et caber, bière et
whisky encore...
Il y a quelques mois cette Écosse, forte par la vaillance
mais faible par la démographie, a dû emboiter le pas de sa grande sœur anglaise
et renoncer, bien à contre-cœur, aux ambitions de prospérité dans
l’indépendance qu’elle espérait assouvir grâce à l’Union Européenne. De son
avenir si récemment bouleversé, la conférence de ce soir nous permettra
sûrement de mieux comprendre les enjeux principaux. Mais à présent, Monsieur
Marique, il est temps que vous guidiez nos pas dans l’Écosse de vos rêves
vécus.
Arkenna, 7 octobre 2016
Danielle et Gilles Hubert
Danielle et Gilles Hubert
HIMALAYA,
la
jungle oubliée
Ce
soir, nous avons le plaisir d'accueillir pour la première fois Danielle et
Gilles Hubert, voyageurs aguerris mais aussi peintres, dessinateurs et
photographes, qui se sont lancés dans la vidéo en 2007.
Après
des reportages très remarqués sur le Kirghizistan, le Xinjiang chinois et
l'Océan Indien, ils ont mené en 2013 un voyage à la découverte de l'Arunachal
Pradesh, dans l'extrême-est himalayen : une vaste région couvrant plus de
80.000 km2, d'autant plus reculée et mystérieuse qu'elle est
couverte de jungles et qu'elle a été interdite aux étrangers pendant deux
siècles.
Utilisant
tous les moyens de transport disponibles — train et bus, mais aussi taxi
collectif, rickshaw, pousse-pousse, trek et bac —, nos deux aventuriers nous
entraînent dans une équipée haletante, émaillée par des rencontres
extraordinaires.
Celle
tout d'abord des fascinants moines dansants de Kalambari, l'un des vingt-deux
monastères de l'île de Majuli. Celle ensuite des Apatani, peuplade hospitalière
qui voue un culte au soleil et à la lune, et dont les femmes tatouées s'ornent
les narines au moyen, surprenant, de disques de rotin noirci. Plus loin encore,
après avoir atteint la Slang River, un moment d'émotion en compagnie de Pema,
de ses filles et de son beau-père Takyiang, chasseur intrépide et bâtisseur
émérite à la mémoire d'éléphant.
Entre
jungles impénétrables et villages clairsemés, moines bouddhistes de tradition
tibétaine et tribus fidèles aux anciens rituels chamaniques, un voyage dans une
enclave loin de notre monde, hors de notre temps...
Arkenna, 28 octobre 2016
Jean-Claude Herman
Jean-Claude Herman
Costa Rica, ¡ Pura Vida !
Film-reportage HD
Comptant parmi nos conférenciers fidèles et appréciés,
Jean-Claude Herman est également l’un de ceux qui abordent les thèmes les plus
contrastés : Sicile d’eau et de feu, Laos immémorial et nonchalant, Namibie
desséchée, Danube paresseux, Belle Époque urbaine, Bruges nostalgique, Cap-Vert
au gré des vents et aujourd’hui Costa Rica tropical et savoureux, à la jonction
des deux Amériques...
j Pura
Vida ! La vie pure, authentique ! C’est d’abord la vie d’une nature débordante, qui cumule
à plaisir toutes les richesses géologiques, botaniques et zoologiques sur un
territoire ne dépassant guère les 50.000 km2 : jungles exubérantes
et steppes désolées, mangroves silencieuses et cascades bruissantes, volcans
noirâtres et fonds marins bariolés, le tout entre une mer des Caraïbes
parcourue de courants puissants et un océan interminable, qui n’est Pacifique
que de nom...
La vie ensuite d’une population chaleureuse, ces Ticos qui
aiment la rencontre et se montrent particulièrement accueillants et curieux face aux étrangers. Qui aiment aussi la paix, au
point d’avoir
renoncé à entretenir une armée depuis 1948. Qui aiment en outre la nature, jusqu’à avoir choisi de fermer tous leurs zoos pour concentrer leurs efforts sur le sauvetage d’une exceptionnelle biodiversité. Et qui ont décidé, il y a longtemps déjà, de privilégier la santé et l’éducation au niveau national... une politique bien antérieure aux stratégies de développement durable que l’on tente de mettre en place un peu partout
renoncé à entretenir une armée depuis 1948. Qui aiment en outre la nature, jusqu’à avoir choisi de fermer tous leurs zoos pour concentrer leurs efforts sur le sauvetage d’une exceptionnelle biodiversité. Et qui ont décidé, il y a longtemps déjà, de privilégier la santé et l’éducation au niveau national... une politique bien antérieure aux stratégies de développement durable que l’on tente de mettre en place un peu partout
Monsieur Herman, nous sommes prêts à vous suivre à la
découverte de ce pays où, selon vos propres paroles, il est facile d’être un
voyageur heureux et comblé.
Arkenna, 18 novembre 2016
Line Baty & Jean-Claude Sadoine
Line Baty & Jean-Claude Sadoine
Le Périgord
Un film-reportage
Il
n’est pas toujours nécessaire d’aller loin pour se trouver émerveillé. Parfois,
l’étonnement nous saisit tout près de chez nous, dans une région que nous
pouvions croire familière et peu susceptible de nous réserver la moindre
surprise.
C’est le cas du Périgord que nous proposent ce soir Line
Baty et Jean-Claude Sadoine. Une
région magnifique, caractérisée tout
d’abord par ses richesses naturelles : forêts étendues et vallées verdoyantes, rivières au cours rapide, falaises élevées et grottes profondes fournissent depuis des dizaines, voire des centaines de millénaires un environnement propice à la présence humaine. Les hommes en ont bien profité, et ils ont laissé des traces remarquables dans le Périgord, où pas moins de quinze sites préhistoriques ont été classés au patrimoine mondial par l’Unesco : Lascaux, les Eyzies, Le Moustier, Combarelles, Font-de-Gaume et j’en passe...
d’abord par ses richesses naturelles : forêts étendues et vallées verdoyantes, rivières au cours rapide, falaises élevées et grottes profondes fournissent depuis des dizaines, voire des centaines de millénaires un environnement propice à la présence humaine. Les hommes en ont bien profité, et ils ont laissé des traces remarquables dans le Périgord, où pas moins de quinze sites préhistoriques ont été classés au patrimoine mondial par l’Unesco : Lascaux, les Eyzies, Le Moustier, Combarelles, Font-de-Gaume et j’en passe...
Par la
suite, le Périgord s’est couvert au fil des siècles de villages pleins de
charme, de bastides et de châteaux à couper le souffle, de magnifiques églises
romanes et d’une abondance de trésors artistiques en tous genres, qui en font
un véritable pays de cocagne de la nature autant que de la culture.
Mais
par-dessus tout, il s’agit d’une terre vouée à l’accueil sans parcimonie et au
bien-vivre, qui réjouit tous les sens et comble le visiteur le plus exigeant.
Comment ne pas se laisser séduire par une telle abondance, guidés comme nous le
serons par un couple de conférenciers expérimentés, dont nous apprécions le
talent depuis de longues années ? Monsieur Sadoine, nous vous cédons la parole.
Arkenna, 9 décembre 2016
Ronald Bosmans
Ronald Bosmans
Le Jura franco-suisse : un massif pour deux pays
Aujourd’hui,
Ronald Bosmans nous invite à le suivre dans une région où il séjourne
régulièrement depuis plusieurs années : le massif du Jura. Autant dire qu’il
s’est plu à l’explorer de long en large et qu’il nous emmène sur des sentiers
peu fréquentés, qui permettent d’atteindre des terroirs avant tout
authentiques... et savoureux.
À
cheval entre France et Suisse, le Jura est d’abord riche en paysages, qui se
déploient de massifs rugueux en douces vallées, comme celles du Doubs, du Joux
et de la Loue, longuement caressée par le pinceau de Gustave Courbet. Il abonde
aussi en réalisations humaines d’un grand intérêt, comme la très belle ville de
Besançon, la petite cité médiévale de St-Ursanne et les exceptionnelles salines
royales d’Arc-et-Senans, chef-d’œuvre de l’architecte des Lumières
Claude-Nicolas Ledoux.
Le
Jura, c’est aussi un sol producteur de boissons et de nourritures de caractère
— vin d’Arbois qu’appréciait tant le grand savant Louis Pasteur, absinthe née
dans le Val-de-Travers, fromages de vacherin jeune et de comté longuement
affiné... Mais avant tout peut-être, c’est une terre où se sont maintenues des
activités traditionnelles (poseurs de tavaillons, constructeurs d’automates)
ainsi que des festivités originales, qui rythment l’année en un joyeux cortège
: désalpe, concours de bûcherons, fête du vacherin, Transjurassienne aux
exubérants chiens de traîneau...
Monsieur Bosmans, à vous de
nous guider maintenant à travers ce Jura qu’à l’évidence vous aimez tant.
Arkenna, 6 janvier 2017
Monique et Paul Coessens
Monique et Paul Coessens
Vietnam : un seul état,
des mondes différents
Après un mémorable Pérou l’an dernier, Paul Coessens
tourne le dos au Nouveau Monde et nous invite cette fois à l’accompagner à la
découverte du Vietnam. Bien moins frayé des touristes, le pays offre hélas au
premier regard l’image d’une capitale, Hanoï, envahie par des nuées de
motocyclettes bruyantes et polluantes, dont les conductrices portent souvent un
masque certes protecteur mais bien peu séduisant. En outre, le réseau
anarchique de fils électriques qui surplombe les rues ne fait rien pour
améliorer l’apparence des grêles « maisons-tubes » qui les bordent en rangs
serrés.
Mais dès que l’on s’éloigne de ce désastre urbain, on
découvre un pays magique, tant par sa richesse culturelle que par sa beauté
naturelle. Au fil des siècles, l’ancien peuple « Cham » a multiplié les
monuments magnifiques dans le centre du pays. En ce qui concerne la nature, la
baie d’Along jouit d’une réputation mondiale largement méritée. Et dans le sud,
l’embouchure du Mékong offre un spectacle inoubliable, se séparant en deux bras
qui forment un delta de plus de 50.000 km2, grouillant de vie.
Surtout, il y a les gens, une population harmonieuse qui
vous accueille le sourire aux lèvres tout en maintenant ses traditions
ancestrales : femmes au chapeau conique œuvrant dans les rizières, femmes
encore de la minorité Dao, appelées non sans raison « Hmong-fleurs », « Cao Daï
» en train de prier avec dévotion...
Le Vietnam, Monsieur Coessens nous le rappelle, c’est une
multitude de mondes assemblés dans un seul État, que l’on ne quitte qu’à
regret.
Arkenna, 27 janvier 2017
Louis-Marie & Élise Blanchard
Louis-Marie & Élise Blanchard
Maroc-Haut
Atlas. Une année berbère
Trop souvent, dans notre monde aveuglé d’images superficielles, le touriste
arrivé dans un pays inconnu se croit tenu de battre des records de vitesse afin
de tout voir, de tout faire. J’ai « fait » le Maroc, dit-il fièrement de retour
à ses amis ébahis.
Il s’agit là d’une étrange illusion : pour un gain dérisoire en étendue,
une perte infinie en profondeur... un vrai marché de dupes ! Bien au contraire,
les véritables voyageurs que sont nos amis les Blanchard savent qu’il faut
ralentir, épouser le rythme des mules ou le pas des hommes pour que change le
regard et qu’opère la magie des
rencontres imprévues. Et
ils nous le prouvent, avec un film-
témoignage réalisé au fil de nombreux séjours sur le territoire des Aït-Bou Oulli — ou « fils des brebis » —, haute vallée blottie au pied des massifs du M’goun et du Djebel Rhat dans le haut Atlas marocain.
témoignage réalisé au fil de nombreux séjours sur le territoire des Aït-Bou Oulli — ou « fils des brebis » —, haute vallée blottie au pied des massifs du M’goun et du Djebel Rhat dans le haut Atlas marocain.
Un témoignage d’abord direct, sans fioritures. La vie est rude et simple
dans ces lieux isolés, dont les habitants bâtissent leurs propres maisons et se
nourrissent des récoltes de leurs propres champs.
Un témoignage ensuite questionnant, car peu à peu les villages s’ouvrent au
reste du monde. Longtemps réclamées, les routes et l’électricité rendent
l’existence plus facile, certes, mais à quel prix ?
Un témoignage enfin émouvant, recueilli parmi des gens
fiers dont la réticence initiale par rapport à la prise d’images a fini par
être surmontée. Mais pour cela, il a fallu prendre le temps de partager leur
quotidien, de se faire accepter librement dans leur intimité et de nouer des
liens solides, privilégiés — fils de confiance tissés sur une trame de
respect...
Monsieur et Madame Blanchard, nous aimerions maintenant vous entendre
conter et partager votre aventure.
Arkenna, 17 février 2017
Philippe Jacq
Philippe Jacq
Pyrénées. La
grande traversée
Après une longue marche pour la paix, du Sinaï à
Saint-Jacques de Compostelle, et une exploration haletante du Mékong, évoquées
à Seneffe en 2013 puis l’an dernier, Philippe Jacq vient pour la troisième fois
nous présenter un beau reportage filmé.
Cette fois la destination est moins lointaine, puisqu’il
s’agit des Pyrénées. Mais fidèle à son goût pour l’effort physique de longue
haleine, notre conférencier aborde la chaîne montagneuse par la voie royale des
marcheurs : le mythique GR10 — ou sentier de grande randonnée n°10 —, une
bagatelle de 900 km qui relie l’Atlantique à la Méditerranée !
Ce parcours d’endurance offre des récompenses à la mesure
de ses exigences, à commencer par des paysages d’une beauté magique, entre la
rudesse de la roche, la fraîcheur des lacs d’altitude et le moutonnement des
nuages qui broutent le ciel. Au rythme balancé des pas se découvrent aussi une
flore et une faune remarquables, sous le regard perçant des vautours qui
planent avec indolence dans les hauteurs.
Mais l’aventure est avant tout humaine et donc tissée de
rencontres d’un moment et d’histoires de tout temps. Du Pays Basque aux
Pyrénées-Orientales, en passant par le Béarn, les Hautes-Pyrénées, la Garonne
et l’Ariège, randonneurs et sédentaires se livrent peu à peu et évoquent,
devant le voyageur de passage, leur vie quotidienne, leurs langues régionales,
leurs traditions, leurs espoirs...
À nous maintenant de prolonger la rencontre, en regardant les images et en
écoutant le récit de Philippe Jacq.
Arkenna, 10 mars 2017
Équinoxe
Équinoxe
Les Marches de
l’Entre-Sambre-et-Meuse
Après l’accueil en fanfare qui nous a été offert, il ne me paraît pas
nécessaire d’insister sur le thème du reportage proposé ce soir. Les mots
paraîtraient bien ternes, face à la puissance évocatrice du son et des couleurs
!
En revanche, l’originalité du projet mérite d’être soulignée, de même que
le beau travail d’équipe qui a permis de le mener à bien. Car l’association
Équinoxe, à laquelle nous sommes redevables pour cette séance, ne compte pas
moins de quatre réalisateurs.
Philippe Sommeryns et Jean-Jacques Saucin se chargent en
particulier de l’image. Michel Lassance assure la prise de son et le montage
audio, Marie-Françoise Saucin l’écriture des textes, et tous deux mènent les
recherches documentaires indispensables. Une telle association de talents
s’avère particulièrement fructueuse et assure à chacun de leurs reportages une
haute qualité, dont Arkenna bénéficie régulièrement depuis de longues années.
Ajoutons que Jacques Saucin a déjà participé à une
exposition collective sur le thème des Marches de l’Entre-Sambre-et-Meuse,
présentée au musée de la Photographie de Charleroi. Autant dire que le projet a
pris corps et mûri dans les meilleures conditions...
Il ne nous reste plus qu’à nous laisser entraîner au rythme des tambours et
des fifres !
Arkenna, 31 mars 2017
Luc Giard
Luc Giard
Irlande,
ombres et lumières
Ce soir, nous avons le plaisir d’accueillir un nouveau
conférencier, venu pour la première fois nous présenter l’un de ses reportages.
Occasion de rattraper le temps perdu, puisque cela fait une quarantaine
d’années qu’il multiplie les expéditions et en ramène des images et des
commentaires dont la qualité a été maintes fois soulignée par la critique.
Après avoir longtemps sillonné l’Amérique latine, Luc
Giard est revenu à quelques encablures du continent européen et s’est tourné
vers les îles d’outre-Manche, explorant tour à tour l’Angleterre, l’Écosse et
l’Irlande. Avec le beau sous-titre « ombres et lumières », c’est de ce dernier
pays qu’il va évoquer dans un moment les paysages, l’histoire et les traditions
bien vivantes.
Aux amateurs de nature s’offrent des régions et des
paysages admirables : Buren, Donegal, Connemara... autant de noms qui font
rêver. De pèlerinages religieux — Croag Patrick, Knock, Mac Dara et tant
d’autres — en manifestations politiques orangistes dans le nord, de courses de
chevaux en concours de vieux gréements, l’Irlande offre des spectacles où
l’enthousiasme chaleureux se conjugue avec une ferveur parfois sans mesure. On
ne saurait passer sous silence la fête de la saint Patrick à Dublin, les
promenades en carriole organisées sur l’île d’Aran ou la pêche à la mouche un
peu partout... et bien sûr la musique, qui envahit les rues comme les pubs.
Longtemps demeurée pauvre et arriérée, l’Irlande a connu
un essor exceptionnel au cours des vingt dernières années. Et si depuis
quelques années, elle souffre de la crise économique mondiale, elle demeure
jeune, pleine de vie et surtout émouvante dans son exubérance et son sens de
l’accueil. C’est ce merveilleux pays que nous allons maintenant découvrir avec
Luc Giard.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire